skylär siobhan-faye burro.

ft naya rivera.

☞ Elle est franche, et se ne cache pas de dire les choses en face qu'elles soient bien ou mal.
☞ Elle n'a encore jamais eu de relation sérieuse jusqu'à qu'elle rencontre x.
☞ Grande gueule, faut mieux pas la faire chier, sinon elle vous le fera comprendre.
☞ Elle est ambitieuse, elle se donne à fond dans sa passion qui est le mannequinat.
☞ Elle à cette manie de passer sa main dans ses cheveux lorsqu'elle est gênée ou mal à l'aise.

Ma vie est tellement passionnante que je dois vous la raconter...

ϟ FLASHBACK.
" Maman, à l'école, louanne m'a dit que pour faire les bébés fallait être deux, un papa et une maman. Et moi, il est où mon papa ? "[/color]
Phrase sortie tout droit de la bouche de cette gamine qui est, moi, skylär siobhan-faye burrows. Noms compliqués vous allez me dire et je vous l'accorde, j'ai vraiment eu du mal à le prononcer quand j'étais une gamine. Je crois que c'est des prénoms russe, comme là où est née mon père. Enfin mon père, je ne le connaissais pas quand j'avais encore que 8ans, ma mère me disait simplement qu'il était parti en voyage et qu'il ne reviendrait que quand je serais très grande, voir jamais. Génial la mère hein, mais c'était pour mon plus grand bien. Enfin bref, j'avais donc ma main dans celle à ma mère, et nous marchions sur le chemin de la maison car je venais de sortir de l'école. On avaient un petit rituel c'était d'acheter un brownie et de nous asseoires au parc, et on parlaient, on faisaient que ça et c'était tellement bien, mais ça c'était avant. Revenons à nos moutons, j'étais une enfant comme tout les autres, simple et j'étais une fan de mannequinat, j'adorais ça, j'aimais tellement faire des défilés à ma mère, alors que celle-ci était assise sur le canapé de la maison à me regarder et à m'encourager comme aurait eu le comportement d'une mère. Oui voilà comment était ma vie avant que mon père ne l'a détruise.

ϟ CHAPITRE UN - endless love.


" Je t'aime tellement Bianca Burro que je veux finir ma vie à tes cotés, passer les meilleurs instants de ma vie en ta compagnie. Alors.. " Il sortit, de sa poche, une boite ou dedans se trouvait bien sur, la bague. Ebahie, heureuse, folle de joie, pleins d'adjectis sont possible pour décrire le visage de ma mère à ce moment là. " Veux-tu m'épouser ? " Elle le regarde, alors qu'il est à genoux et elle assise sur une chaise, un grand sourire illumine son visage. " Oui! " Et ça finis dans le lit. J'aime trop pas parler de mes parents, franchement leurs demande en mariage c'était trop pourrie, trop basique. Ils étaient dans un espèce d'endroit avec des lumières et tout wouaw, et des musiciens qui feraient mieux d'aller se repayer des cours tiens. Moi, ou je suis ? Dans le petit, enfin gros, bidou de ma mère, et, malheureusement vous verrez ma beautée 4 mois plus tard, le dix-seize juin à San Diego. Pendant les mois qui précédaient ma naissance, ma mère vivait le parfait amour avec mon père, ils avaient tout pour être heureux. Une grande maison, avec un immense jardin où se trouvait une grande piscine avec un jaccuzi à sa droite, la maison parfaite quoi. Mais faut croire que mon père était en manque, car on le sait tous, les hommes ça à des besoins, et même pas ils peuvent attendre 9 mois, le temps de voir leur progéniture, nan nan. Vous l'avez bien compris, mon père est parti voir ailleurs alors que ma mère était à la maison, incapable de bouger tellement elle était fatiguée. Et ce petit manège avait continué jusqu'à mes six ans, oui, jusqu'à que je me rende compte que mon père n'était simplement qu'un connard.

ϟ CHAPITRE DEUX - turning tables.


" POUSSEZ MADAME ! " Des cris sortent de sa bouche, alors qu'elle est entraint d'accoucher de qui ? Bah de moi, oui. " Et la voilà votre petite princesse. " Je regarde ma mère, qui pleure de joie. " Comment souhaitez-vous l'appelez ? " Ma mère regarde les infiermiers et sort mon prénom. " skylär siobhan-faye. "

" Comment as-tu pu me faire cette chose pareil David, je te faisais confiance, putin mais serieusement tu me fais pitiée va ! Dégage de là ! " Elle avait prit toute les affaires de mon père dans un sac et venait de lui jeter dans la gueule. Mon père lui me regardait du genre " toi j'vais te tuer. " car c'est grâce à moi que ma mère s'en ai rendue compte. Pourtant, je lui ai seulement dit d'aller lui faire plaisir et d'aller le voir a son bureau mais faut croire que ma mère ne découvrit pas mon père tout seul, et assis sur une chaise à tapoter sur son ordinateur, qui s'était lui aussi, reçu une espèce de boule qui, vous savez quand on la secoue y'a des flocons qui volents, bah lui il se l'était pris dans la gueule. Bref, je m'écarte un peu du sujet là, donc mon père se barre, avec un petit sourire, c'est ça le pire, alors que je tourne la tête vers ma mère et ses yeux sont remplis de haine, de chagrin.

ϟ CHAPITRE TROIS - domino.


Plusieurs années plus tard, je décidais, avec ma mère de partir vivre à Cincinnati, principale ville de l’Etat de l’Ohio, pour commencer une nouvelle vie,. A peine arrivé là-bas, je me fixe un objectif, devenir mannequin.

ϟ FLASHBACK.
" Tu saoules, ma mère va me tuer. " Je le tape sur l'épaule tout en m'enparant de ses lèvres si belles. Nolhàn venait de renverser de l'huile par tout dans la cuisine. Mais impossible de pouvoir l'engueuler plus, je l'aime tout simplement, et cela pour la première fois. Oui, c'est la première fois que je tombe amoureuse d'un garçon, alors que j'ai seize-ans. Lui, il me regarde avec ses yeux d'un bleu merveilleux, son regard se plonge dans le mien, et je ne peux que fondre. Pourtant je devais m'en douter que cela n'allait pas durer eternellement et que les hommes sont tous les mêmes. Le six août, un beau soleil d'été tape sur la ville de New York, avec un ciel bleu, et une chaleur assez éttoufante, et sur le lit se trouve une conne qui pleure toutes les larmes de son coeur car quelqu'un vient de lui briser. Ce quelqu'un n'est autre que Nolhàn qui, selon moi, préfère sauter des pétasses aux beau culs. Il me l'a pas dit, naaaan ! Il a bien voulu me faire mal, et que je le prenne en pleine action, le jour de son anniversaire, alors que je voulais lui faire une surprise. Je suis donc sur mon lit, et après quelques minutes j'arrive à m'arrêter de pleurer, me met sur le dos en regardant le plafond et pense. Et plus je pense, plus je me vois a la place de ma mère des années plus tot quand elle aussi avait découvert mon père dans les bras d'une autre. Je restais un long moment enfermé dans ma chambre, je ne sortais désormais, plus, ne mangeais plus, jusqu'à découvrire que ma mère se droguait, et moi aussi je voulais essayer, j'avais un, tellement gros manque, qu'il fallait que je comble, et personne n'était la pour m'aider, à part cette chose.

Rassurez-vous, aujourd'hui je viens de fêter mes vingt-cinq ans et toute mes dents, je perse également dans le métier de mannequin. Ah aussi, j'ai découvert que mon père faisait parti de la mafia russe et qu'il est en prison aujourd'hui, génial hein. Ma mère étant retournait à New-York, j'étais donc, seule avec des amis certes mais j'avais besoin d'une famille, quelqu'un sur qui me reposer. Au boulot, tout ce passe bien, a part avec cette Danylynn, je la supporte pas, et vu que je suis une salope, tout le monde le sait ça, et bien j'ai touuuuuut fait pour lui piquer sa place, qui était meilleure que la mienne. Bien sur, elle m'en veut. Je pense que si l'envie lui prend, elle pourrait me tuer sur place, mais je ne suis plus le genre de fille à se laisser faire. Mais le pire dans l'histoire, c'est que je viens de découvrir que cette fille là, que je hais est ma demi-soeur. Moi j'dis, souhaitais moi bonne chance !